Par Sophie Grabielle,
La journée était organisée au rez-de-jardin de la médiathèque José Cabanis.
Trois stands étaient tenus par les associations locales, APEDYS Midi-Pyrénées, Avenir Dysphasie et AFD 31.
Un stand était tenu par la bibliothèque de Toulouse, qui proposait des collections au prêt.
Les bibliothécaires ont informé le public des dispositifs mis en place pour accueillir les publics Dys à la médiathèque et et de la mise à disposition d’ouvrages audios ou numériques.
Les collections jeunesse ont été très empruntées, et nous avons fait également 1 réassort pour les collections du pôle société.
Dans l’atelier multimédia, 1 présentation d’applis spécifique, aide à la lecture, ou jeux éducatifs, a eu lieu en continu de 15 heures à 17 heures, et a accueilli au moins 40 personnes.
Dans le Piccolo Teatro, 1 projection de court-métrages sur les différents troubles DYS a été programmée, une première séance à 15h30 a rassemblé 40 personnes, la seconde à 16h30 a été programmé à la demande du public, pour environ 18 personnes. Cette animation a donc trouvé son public, tout autant pour les enfants que pour les adultes. C’était une très bonne initiative du pôle jeunesse.
Et enfin la conférence dans le grand auditorium à 17h30, animée par Nathalie Pican et modérée par Laetitia Branciard a rassemblé 50 personnes.
Nous sommes donc satisfaits de la participation du public à cette journée, et nous constatons toujours la présence de nombreuses familles, avec des questions qui concernent essentiellement la scolarité, mais également la lecture « loisir ».
Nous avons quelques contacts de personnes qui souhaitent aller plus loin, et obtenir un rendez-vous avec le Pôle l’œil et la Lettre pour bénéficier de l’accès aux bibliothèques numériques.
D’une manière générale, le public est satisfait d’avoir des réponses à ses questions, plutôt surpris de découvrir les collections de la médiathèque, il y a eu quelques inscriptions de personnes n’habitant pas sur Toulouse, et venus spécialement pour cette journée.
Les familles ont pu prendre des rendez-vous avec les associations.
C’est donc une opération à renouveler, même sous cette forme modeste.